A Bernard, tout d'abord, il faut dire bravo.
Car au départ il faisait beau,
Et son accueil, aux Gets, fut des plus chaleureux.
C’est après que ça s’est gâté,
Qu’on s’est bien fait tremper.
Déjà à Avoriaz, sous un ciel ombrageux,
Marco nous a bien enrhumés.
Heureusement il y eut l’AG,
Jouée en Sol majeur,
En présence d’Alain
Qui « lève toujours le pied ».
Plus la moto du tour avec ses conducteurs,
Ca nous a réchauffés.
C’est à Thonon le lendemain,
Qu’on a pris la saucée, qu’on a fait le plein d’eau.
En guise de Ripaille, de vin et de château,
Sous le toit d’un dépôt, il fallut se réfugier,
Avant que chez un chinois on aille se sécher.
Là, en l’honneur d’Ichiro, sous son œil amusé,
Délaissant pour un temps nos bonnes vieilles fourchettes,
On tenta vainement de se mettre aux baguettes.
Marie-Paule, merci, pour cette bonne idée !
Mais tout est bien qui finit bien.
En face du Léman, un bon verre à la main,
Dans le jardin de Patrick, bien plus vert que nature,
Le soleil est revenu sur les belles montures.





Le café-ratseur (de la gare)